Le général Khaled Nezzar, son fils Lotfi et l’homme d’affaires Farid Benhamdine, président de la Société algérienne de pharmacie sont poursuivis par un mandat d’arrêt international.
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Ils sont poursuivis pour « complot contre l’Etat et atteinte à l’ordre public ».
L’ancien homme fort du régime, faut-il le rappeler, est parmi les acteurs principaux de l’interruption du processus électoral de 1992. Une porte ouverte pour guerre civil: la décennie noir; déchirements, désolation, consternation, séquelles…
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Ces deux dernière semaines, des Tweets non assumés au nom de Khaled Nezzar, tombent comme des obus sur Gaid Salah: «« L’Algérie est prise en otage par un individu brutal qui a imposé le quatrième et inspiré le cinquième mandat. Il faut y mettre fin ! Pays en danger »
Selon plusieurs sources, c’était Farid Benhamdine qui était l’intermédiaire entre Khaled Nezzar et Saïd Bouteflika. Ceci a été considéré comme comme un « complot » contre le chef d’état-major de l’armée, Ahmed Gaïd Salah.
Et, c’est ainsi que le général Nezzar est accusé de complot avec la « bande ».
Peine de mort! Selon l’article 77 du code pénal qui stipule: « l’attentat, dont le but a été, soit de détruire ou de changer le régime, soit d’exciter les citoyens ou habitants à s’armer contre l’autorité de l’Etat, ou s’armer les uns contre les autres, soit à porter atteinte à l’intégrité du territoire national, est puni de la peine de mort ».
Laissons-les … entre eux!
La révolution continue, vive le peuple!